Le Banyan Tree est un des plus beaux hôtels de Thaïlande. Idéalement situé dans le quartier des ambassades, près de Silom et de Lumphini, l’établissement est parfait pour aller explorer Bangkok en taxi-bateau. Pour ceux qui privilégient la vitesse, l’hôtel est en outre à trois minutes à pied du métro et du skytrain. L’ont peut rejoindre le palais et Wat Arun en 30 minutes. L’hôtel permet de profiter d’une superbe vue sur tout Bangkok. Son rooftop au 62 ème étage notamment, le plus haut de la ville, est tout simplement exceptionnel : l’on y jouit d’une vue à 360° sur toute la ville tout en profitant d’une carte de cocktails très variée. La piscine et la terrasse extérieure au 19ème étage offrent elles aussi une vue imprenable. Le must : savourer un cocktail au bord de la piscine en profitant d’un petit massage gratuit offert par la maison. Un régal ! Côté design, l’hôtel joue la carte du luxe simple et raffiné. Dans les étages, l’on peut sentir des senteurs différentes tous les jours. Dans les chambres aussi, des parfums d’ambiance sont renouvelés à chaque passage des femmes de chambre, deux fois par jour. Les chambres sont à la fois somptueuses, spacieuses et silencieuses, et offrent une vue époustouflante sur la ville, où que l’on soit : dans le salon, dans son lit, ou même dans son bain… La restauration n’est pas en reste, en termes de qualité. Le restaurant thaï du 52ème étage, le Safran, est un des meilleurs de Bangkok ; le buffet du petit déjeuner, au 21ème étage, est délicieux et varié, permettant de manger sucré, salé, occidental ou asiatique ; le restaurant Vertigo, au 61ème étage, est quant à lui une des adresses incontournables de la ville… avec un nom très bien trouvé ! Parmi les activités incontournables à faire sur place : profiter d’un dîner-croisière au fil de l’eau. Demandez au concierge de vous en organiser un. Le personnel n’y est en effet pas seulement souriant et serviable : il est aussi parfaitement efficace… A découvrir, avec bien d’autres hôtels sur le site très bien nommé des plus beaux hôtels du monde. Suivez le lien.

Un manager éprouve des doutes quant à la compréhension par ses équipiers du discours stratégique du Président de l’entreprise lors de la dernière convention. Lui même aimerait obtenir quelques éclaircissements sur les modalités pratiques de l’exécution de cette stratégie. Il demande alors un rendez vous avec le Président en précisant quelle en devrait être la durée. Sachant que son interlocuteur est plus en forme et disponible de bonne heure, il propose une heure matinale. Il entame l’entretien ainsi : « Bonjour. Vous aviez dit lors de la convention que vous étiez ouvert à nos interrogations, c’est pourquoi je souhaitais vous rencontrer aujourd’hui sur deux points. Le premier est un doute me concernant sur les modalités pratiques de la nouvelle stratégie. Le second est qu’il me semble que des membres de mes  équipes  n’ont pas bien compris les raisons qui nous poussent à infléchir notre stratégie actuelle. Je viens ici pour avoir des clarifications et ainsi jouer mon rôle de manager avec efficacité dans ce contexte changeant. » Avec cette approche, forte est la probabilité d’entamer une discussion constructive. De surcroit vous paraissez au yeux du président comme un manager courageux et impliqué. Cette forme d’intelligence contextuelle intègre les intelligences managériales précitées : émotionnelle, intellectuelle et stratégique.  Et aussi les trois autres à venir. Avant d’exprimer une idée visant à influencer une personne ou un auditoire, prenez autant de soin au contenu qu’au contexte. Un contexte est un lieu, l’aménagement de l’espace, un moment opportun, un durée, des rituels , des permissions et tabous… Le même contenu exprimé dans des contextes inappropriés se révèlerait contre performant , voire destructeur pour le manager. Par exemple, s’exprimer de la sorte à la cafétéria où lors d’une assemblée générale des actionnaires ou du personnel. Encore pire avec des clients, des fournisseurs, sur Facebook ou un voyage organisé.